Ce n’est pas moi qui le dis, c’est Alfred Hitchcock, le maître du suspense.
Il parlait des films, puisqu’il était réalisateur, mais ce qu’il dit s’applique aussi aux romans.
L’antagoniste n’est pas un rôle secondaire.
Ce n’est pas une formalité.
C’est un personnage central.
Et pourtant, la plupart des débutants concentrent tous leurs efforts sur le protagoniste.
Après tout, c’est lui qu’on va suivre.
Alors c’est normal de lui accorder une attention particulière.
Le problème, c’est qu’un protagoniste à lui tout seul ne fait pas une bonne histoire.
Ce qui rend l’intrigue intéressante, c’est quand le personnage souffre.
Quand il galère.
Quand il est mis à l’épreuve.
Plus les obstacles sur sa route seront grands, plus on l’admirera.
On s’attachera à lui parce qu’il s’accroche.
Parce qu’il fait tout pour obtenir ce qu’il veut, malgré les obstacles.
Pensez à vos histoires préférées, et vous verrez toutes les difficultés qu’ont connues les personnages.
Les amis qu’ils ont perdus.
Les sacrifices qu’ils ont dû faire.
C’est ce qui rend une histoire intéressante.
Et l’antagoniste est au centre
C’est logique : l’antagoniste est celui qui s’oppose au protagoniste, donc celui qui va générer des obstacles.
Mais un bon antagoniste n’est pas facile à écrire, surtout quand on débute.
Le vôtre est peut-être caricatural : il fait le mal sans avoir de bonne raison.
Ou alors, il manque de profondeur : il est réduit à sa fonction d’antagoniste, mais il est creux.
Peut-être que vous avez tout simplement du mal à le construire. Vous ne savez pas par quel bout l’envisager, et vous avez l’impression que tout ce que vous faites est mauvais.
Et si je vous disais que ça pouvait changer?
Il vous faut une méthode
Je construis tous mes antagonistes en suivant certains principes fondateurs.
Ces principes, je les ai appris au fil du temps, à force d’échouer, et de ne garder que ce qui marche.
Ils sont simples, mais terriblement efficaces.
J’ai décidé de développer des outils pour permettre à n’importe qui de faire comme moi, quelle que soit votre expérience.
À l’aide de ces outils, vous serez capable d’écrire un antagoniste nuancé.
De le rendre attachant, même s’il est une personne horrible.
De le rendre humain et profond, loin des clichés de « méchant ».
Et de construire des scènes cohérentes qui mèneront à l’affrontement final.
Le mieux? Ça fonctionne à chaque fois.
Puisque vous partez de votre histoire pour générer votre antagoniste, il est forcément taillé pour votre intrigue.
Vous ne pouvez pas vous planter, rien n’est laissé au hasard.
Avec cette méthode, vous pourrez créer des antagonistes efficaces, qui génèrent beaucoup d’obstacles, et tout ça dans un temps record.
Plus de perte de temps.
Fini les manuscrits inachevés parce que l’antagoniste ne fonctionne pas.
Ou parce qu’il est trop absent, ou pas assez menaçant, ou trop manichéen.
Votre protagoniste va souffrir, et votre lecteur va adorer.
J’ai passé les dernières semaines à créer une formation complète entièrement dédiée au sujet
Je vous explique en détail comment utiliser mes outils, et la théorie qu’il faut connaître pour bien commencer.
Ensuite, on passe à la pratique : je complète les documents devant vous pour vous montrer à quel point c’est rapide et convaincant.
À l’enregistrement, j’étais moi-même surpris du résultat.
Ces outils étaient dans ma tête, les coucher sur papier pour qu’ils soient compréhensibles par tous et toutes m’a forcé à les structurer et à les synthétiser pour les rendre clairs.
J’ai ajouté des schémas là où c’était nécessaire, des check-listes et des fiches-outils.
À la fin de cette formation, vous aurez tout ce qu’il vous faut pour écrire un antagoniste nuancé que vos lecteurs adoreront.
C’est presque trop facile, une fois qu’on a les documents devant les yeux.
Vous verrez qu’il ne faut pas des mois pour construire un bon antagoniste : il faut juste savoir ce qu’on fait et ne pas gaspiller ses efforts dans des futilités.